Alice
Exposition artistique Depuis 1998
Le Chapelier Fou
Hauteur 48 cm
Circonférence 45 cm
Matériaux / coton, néo daim, plastique, papier
Thème libre 2010
Collier Alice marque page
Hauteur 6,5 cm
Circonférence 11 cm
Matériaux / papier,encre, nacre, coton à broder, film plastique, tarlatane
Lettre à Alice, oeuvres postées, art envoyé 2006
Lettre à Alice au musée Barrois de Bar-le-Duc
visuel non disponible
Hauteur 16,5 cm
Largeur 16,5 cm
Matériaux / tulle, coton, papier, encre, fil à broder
Tricentenaire de Madame Scudéry 2003
Sac tendre d’Alice aux pieds des Frigos d'Ivry-sur-Seine
Hauteur 46 cm
Largeur 27 cm
Matériaux / papier, tarlatane, coton, plastique, métal
L’ivre des merveilles 2002
Les gants d’Alice à la tour Jean Sans Peur de Paris
Hauteur 38 cm
Largeur 19 cm
Matériaux / grillage plastique, coton à broder, papier, plastique or, perles
Centenaire d'Antoine de Saint
Exupery 2000
Les chaussures d’Alice - Petit Prince au collège des Presles
Hauteur 14 cm
Longeur 29 cm
Profondeur 8 cm
Matériaux / papier, plastique, clous de giroffe, perles, tulle, dentelle, papier de verre, coton
Alice sous
terre 1999
Le reliquaire dans une cave du XIe arrondissement de Paris
Hauteur 18 cm
Largeur 13 cm
Matériaux / velours, papier or, coton
Centenaire Lewis Carrol 1998
Casquette Alice à la galerie du palais Royal
Chapeau lièvre de Mars
Couronne de la reine
Haut de forme du chapelier fou
La casquette d'Alice
Hauteur 34 cm
Largeur 25 cm
Le chapeau du lièvre de Mars
Hauteur 25 cm
Largeur 30 cm
La couronne de la reine
Hauteur 24 cm
Hauteur 48 cm
Circonférence 45 cm
Le haut de forme du Chapelier fou
Hauteur 48 cm
Circonférence 45 cm
Matériaux / coton, néo daim, plastique, papier
Depuis 1998, année du centenaire de Lewis Carroll, un ensemble de plasticiens se rassemble le 16 Décembre, jour de la Sainte Alice, pour célébrer cette fête par un événement poétique, en quelque lieu choisi.
Plus d'info
http://alicestillalive.pagesperso-orange.fr/index.htm# alicestillalive.pagesperso-orange.fr/2002.htm
Alice au pays du Web
Syndrome de Todd
Les 150 ans de la publication d'Alice aux pays des merveilles est l'occasion de décrire ce trouble neurologique rare, dont souffrait probablement Lewis Carroll, qui modifie la perception de l'espace, du temps et de soi-même.
Des illusions visuelles (voir un objet plus petit/grand ou plus près/loin qu'il ne l'est en réalité), des hallucinations auditives, une perception altérée de la vitesse ou même de sa propre image (corps déformé, membres allongés, comme lorsqu'on se regarde dans un miroir déformant) : tels sont les symptômes d'un syndrome confusionnel rare appelé "syndrome d'Alice au pays des merveilles", en référence au rêve d’Alice dans le célèbre livre de Lewis Carroll paru il y a 150 ans le 26 novembre 1865. Un syndrome confusionnel aux symptômes impressionnants mais qui pour autant n'est pas dangereux, et est susceptible de disparaître avec le temps. La cause principal est la migraine, notamment chez l'enfant (1).
Lewis Caroll en soufrait il ?
Ce syndrome porte également le nom de "syndrome de Todd" en référence au psychiatre britannique John Todd, premier médecin à l'avoir décrit (2). Plusieurs de ses patients éprouvaient des migraines qui provoquaient chez eux des altérations de la perception de la proportion des objets. Ils souffraient également d'une altération de la notion de temps et du sens du toucher, ainsi que d'une déformation de la perception de leur propre corps. Les patients étaient aussi tous capables de penser avec lucidité et pouvaient distinguer des hallucinations de la réalité. Aucun ne souffrait de tumeur au cerveau, de troubles de la vision ou de maladie mentale qui auraient pu expliquer ces symptômes.
Comme Lewis Carroll avait été victime de migraines avec des symptômes similaires à ses patients, John Todd formula l'hypothèse qu'il s'était servi de ses propres expériences migraineuses comme source d'inspiration pour son célèbre roman de 1865. Le journal de l'auteur révèle qu'en 1856 il a consulté un ophtalmologiste du nom de William Bowman, pour les manifestations visuelles des migraines qu'il éprouvait régulièrement...
Le syndrome qui touche aussi les personnes épileptiques.
Comment s'expliquent ces hallucinations au niveau cérébral ? Lors des crises, simultanément à l'apparition des maux de tête, les vaisseaux du cerveau se resserrent rapidement (on parle de vasoconstriction) : l’irrigation devient plus difficile dans certaines régions cérébrales, ce qui se traduit par une multitude potentielle d'hallucinations visuelles, voire auditives. Si le lobe pariétal droit est touché, le patient souffre d'une modification de la représentation des corps dans l’espace.
C'est pourquoi ce syndrome peut également se manifester chez les personnes épileptiques dont les crises touchent la partie pariétale postérieure du cerveau. Certains patients souffrent d'un symptôme encore plus spectaculaire : la vision d'un de leurs membres disparaître... Les crises de schizophrénie, comme la prise de certaines drogues hallucinogènes (le LSD par exemple) peuvent également provoquer les mêmes hallucinations. "De même que la maladie de Lyme, la mononucléose et le grippe A (H1N1)", concluent des chercheurs dans une étude publiée en 2014 (3).
(1)Étude publiée dans Neurocase en 2014
(2) Étude de John Todd parue en 1955
(3) Étude publiée en 2014 dans le Journal of Pediatric Neurosciences
Tiré du Science et vie n°827
La vraie Alice de Wall Disney
Cathryn Beaumont dans les années 50 servit d'inspiration pour" Alice au pays des merveilles". Cette actrice anglaise alors âgée de 10 ans, fut choisie par Wall Disney pour prêter sa voix et de
modèle d'inspiration pour incarner le personnage afin que les dessinateurs puissent capturer ses gestes et ses expressions et de les reproduire en dessin.
Kemo insère Alice dans la vie
L'illustrateur italien Lugi Volo, alias Kemo, détourne les lignes des cahiers pour créer des mises en scènes insolites avec des personnages Disney. Une imagination débordante pour donner vie à l'univers de notre enfance ! ll insère des personnages Disney dans la vraie vie.
Depuis quelques temps, Kemo s’amuse à dessiner des sortes de trompe-l’œil, qui jouent avec les lignes d’un cahier. Seulement, Kemo cherche à nous duper ! Car lorsqu’on regarde de près, on découvre que tout est fait à la main, même les lignes, qui ne sont donc pas issues d’un véritable cahier.